Boni Richard Ouorou soulève une question importante concernant l'allocation des ressources publiques. Il remet en question l'idée de dépenser de l'argent pour construire un nouveau siège pour les représentants du peuple, qui semblent manquer de réflexion ou d'engagement.
En effet, il propose d'investir dans la construction d'un laboratoire de pointe à l'université. Une initiative qui pourrait avoir des avantages significatifs pour l'avenir du pays. Pour lui, il serait plus « judicieux de construire un laboratoire de pointe à l'université plutôt que de dépenser des ressources pour construire un nouveau siège pour des personnes qui semblent simplement acquiescer sans réfléchir ». La proposition de construire un laboratoire de pointe dans les universités du Bénin est pertinente dans le contexte médical actuel.
À l'en croire, la création des laboratoires pourrait favoriser les recherches, l'innovation et la formation de professionnels de la santé hautement qualifiés.
Cependant, pour que les fruits de ces efforts puissent porter, « il sera question de s'assurer que les diplômés formés dans ce laboratoire puissent trouver des opportunités d'emploi et contribuer efficacement au système de santé », souligne t-il.
En réalité, cette innovation selon Boni Richard Ouorou pourrait renforcer les capacités médicales locales et réduire la dépendance aux soins médicaux étrangers. Mais il faut reconnaître que la construction et la gestion d'un laboratoire de ce type exigent des ressources financières considérables, un engagement soutenu du gouvernement et des mesures pour assurer la disponibilité d'emplois pour les diplômés formés.
Par ailleurs, Boni Richard Ouorou soulève également des préoccupations concernant la démocratie et suggère que les ressources seraient mieux utilisées pour investir dans l'enseignement de qualité et la création d'opportunités d'emploi. Pour lui, c'est la meilleure option pour épargner les jeunes et les futures générations du chômage et du sous-emploi.
Boni Richard Ouorou, dans ses dires, n'a pas manqué de soulever des questions valables sur l'allocation des ressources publiques et l'importance d'investir dans des domaines tels que l'éducation et la recherche scientifique. « Assumons notre dictature et investissons au moins dans l’avenir ».
Par Wilfried Judicaël DJEHLI (Stag)
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